Plus tard ! C'est toujours cela qu'on se dit quand, au départ d'un train ou au chevet d'un malade, on prend conscience tout à coup de n'avoir pas assez aimé, pas assez compris. Et cela ressemble à ces bouquets de belles et de bonnes résoltuions qu'on entasse hâtivement, avec la peur d'arriver trop tard, au pied d'un mourant.