En ce qui concerne l'anxiété généralisée, de très nombreuses études ont révélé une implication de l'ocytocine et de son récepteur dans ce sentiment. En se limitant aux études chez l'humain, il a ainsi été montré que les concentrations en ocytocine varient en fonction du niveau d'anxiété, mais aussi selon le sexe du sujet. Chez les femmes, de forts taux d'hormone corrèlent avec une forte anxiété liée à l'attachement alors que l'inverse est observé chez les hommes. Des liens entre différentes formes du gène du récepteur de l'ocytocine et l'anxiété ont également été rapportés.