Les deux actes uniques de Marco di Stefano et de Giulia Lombezzi s'offrent aux spectateurs, et ici aux lecteurs, comme deux réflexions sur les dérives de notre société, au sommet de ses connaissances techniques et apparemment incapable de renoncer à quoi que ce soit. C'est une dramaturgie immédiate, une écriture sèche mais pas aride, surtout efficace, qui fait mouche.
[Introduction]