Je lis la nuit, jusqu'à trois, quatre heures du matin : l'obscurité, le noir autour de soi, ça ajoute beaucoup à la passion absolue qui s'établit entre le livre et nous. Vous ne trouvez pas ? La lumière du jour disperse les intensités en quelque sorte.
"La passion suspendue" - Entretiens avec Leopoldina Pallotta Della Torre