J'ajouterais une dernière chose à propos d'Enriqueta : elle était très vivante, et pour moi l'aider à faire des mots croisés, retirer les arêtes de son poisson, et même dénouer les lacets de ses chaussures quand les rhumatismes lui grippaient les doigts, tout était poésie (...)
Soudain, je la voyais pour ce qu'elle était : une oeuvre d'art en soi.
Je lui fis comprendre sans tarder que j'étais à son entière disposition, qu'il s'agisse de lui servir un café ou de commettre un meurtre avec préméditation.