Ils étaient là, leurs uniques faits d’armes, dans une certaine capacité à boire plus que de raison et à rentrer chez eux sans se faire prendre par leurs parents, ou à fumer des joints dans les toilettes du lycée quand ils étaient à peine plus jeunes ; certains avaient poussé l’héroïsme jusqu’à passer une nuit au poste pour ivresse sur la voie publique ou pour un peu d’herbe mal cachée.