Rilke pense que les peintres savent vivre, toujours. L'angoisse, ils la peignent. Van Gogh à l'hôpital peint sa chambre d'hôpital. Le corps des peintres et des sculpteurs est actif. Leur travail est à ce mouvement. Lui, poète, ne sait que faire de ses mains. Il ne sait pas être vivant. (p. 34)