Je me souviens de cette femme à qui j’avais consacré trois heures d’interview. Elle m’avait posé des questions tellement indécentes :
« Pleurez-vous tous les jours ? Où avez-vous pleuré pour la dernière fois ? Dans quelle pièce ? Dormez-vous toujours avec votre mari ? »
Le genre d’articles à faire pleurer dans les chaumières, qui ne fait pas avancer la réflexion.