Il est effectivement midi vingt et Madame X a faim. Pour remédier à ce problème, plusieurs options s'offrent a elle. Il y a la cantine d'entreprise ou elle peut avoir la chance de manger une semelle-frites molles 5 jours / 7 en compagnie de son collègue du 14e étage convaincu qu'elle lui fait du gringue quand elle lui demande de lui passer le sel. Il y a la boulangerie d'en bas où, après avoir fait 40 minutes de queue au milieu d'une nuée d'étudiant(es) volubiles, elle pourra acheter le sandwich thon-mayo spongieux et le millefeuille fané qui saloperont son tailleur de miettes grasses. Il y a la brasserie du coin ou elle pourra se faire servir un croque-monsieur a 3600 calories avec une poignée de frisée vinaigrette. Il y a le resto gastro du quartier d’où elle sortira 3 heures plus tard, à peu près aussi fraiche et légère que de chez sa belle-mère un dimanche a 16 heures.
Ou bien il y a la lunch box. Une vrai petite gamelle homemade version chic fille avec entrée-plat-dessert. Des portions sur mesure de vrais bons petits plats frais et équilibrés, a avaler sur le pouce en checkant ses mails ou a savourer a l'aise sur un banc ou sur l'herbe d'un jardin public.
La question du financement demeure centrale pour tout entrepreneur,
avec le défi de la transformation numérique qui constitue un enjeu lourd.
Le contenu de cette transformation et son enjeu financier ne peuvent pas être les mêmes pour un commerce de quartier et une ETI industrielle, mais, de manière générale, toutes les entreprises sont concernées, quels que soient la taille, le secteur et le stade de développement (jeunes entreprises comme entreprises centenaires). Sans virage numérique, l’entreprise peut rapidement disparaître. Il est donc fondamental que les entrepreneurs aient une lecture claire des sources de financement qu’ils peuvent mobiliser pour répondre à ces enjeux.