Je me présente, Malcolm McLaren. Honnête commerçant, propriétaire d’une boutique sur King’s Road. Oui, M. Jones vole parfois. Faut dire que la loterie de la société ne l’a pas gâté. Il a volé dans ma boutique. Je lui ai pardonné aussitôt quand j’ai découvert en ce jeune homme un potentiel artistique hors du commun. Et je l’ai engagé dans un grand projet artistique qu’il est en train de concevoir sous ma responsabilité. Êtes-vous sûr de vouloir emprisonner un futur modèle pour les jeunes de notre pays ? M. le juge, j’implore votre clémence. Ne soyez pas celui qui condamne la culture et l’avenir sur un simple coup de marteau.