Je ne commence pas à écrire parce que lis Ramuz, mon mal vient de plus loin, mais quand je commence, je le lis; et ça laisse des traces, elles sont écrites, inscrites, incrustées, au point que je mettrai des années à exhumer, des strates où dorment et vivent et prolifèrent les particules déposées en nous par nos lectures (...) (p.15)