Je l’appelais plutôt mon messager. Je ne l’avais jamais vu et je ne savais même pas si c’était un homme ou une femme. Mais ce n’était pas une erreur de destinataire, je l’avais rapidement compris. Lorsque j’avais reçu la troisième pierre, le souvenir du carnet c’est imprimé dans mon esprit…