Elle rit. Un rire mou, mais un rire quand même.
Elle m’embrasse sur le front.
Je tente de me regarder une dernière fois dans le miroir de l’entrée. Il a disparu. Les post-it le recouvrent de haut en bas.
– Amuse-toi bien ! Je t’aime, Déborah, tu es mon soleil ! lance ma mère depuis la salle de bain où elle se maquille.
Tandis que je sautille dans l’escalier, je réfléchis.
Jamais ma mère ne m’a dit un truc pareil.