Généralement, les détenus promis à la pendaison étaient complètement nus, précisait un rapport sur les crimes de guerre commis à Flossenbürg. Avant d’être pendus, les victimes étaient fréquemment rouées de coups, jusqu’à ce que les malheureux supplient pour qu’on leur passe tout de suite la corde au cou, afin de les soulager de leur souffrance. Une autre méthode d’exécution consistait à pendre un individu par les poignets en le lestant d’un lourd tonneau attaché aux chevilles. Le poids finissait par déchiqueter les entrailles du supplicié, et il mourait.