On le considérait comme un merveilleux lecteur. Lors des "soirées" du temple, on lui demandait toujours de lire de la poésie ; et quand il avait terminé, les dames levaient les bras et les laissaient retomber avec désespoir sur leurs genoux, elles "roulaient" des yeux et secouaient la tête, comme pour dire, "Les mots ne peuvent l'exprimer ; c'est trop beau, trop beau pour ce monde mortel."