ce receuil est attendrissant, sénérité,quiétude,douceur et la vie quoi. Je le possède aussi dans ma bibliothèque. Oui il faut le lire et le prêter. BRAVO.
Douceur de la tendresse
Ô! Combien nos deux cœurs s'aiment
En griserie d'un long frisson
Douce, caressante et chaude volupté
Qui me fait chavirer l'âme
Engourdissement de bien-être à rêver de toi
Souveraine raison de l'amour infini
Comme un feu brulant qui ne s'éteint pas
Notre romance, notre seule raison, notre force
Ö ! Toi qui combles ma détresse, mon vide
A toi qui berces ma douleur
De tes mots sacrés qui m'apaisent
Tu déverses ton charme en une paix profonde.
j'ai aimée ce livre, histoires qui m a fais voyager de-çi de-là:émotions fortes, frisons et bien être....! parfois. je le possède déjà dans ma biblothèque. je le conseille.
Le super détective Anglais.
Le détective Anglais venait de dévorer un énorme chou à la crème roboratif, tout en rêvant à la douce chaleur des bras de sa Baby qu'il venait juste de quitter avec regret, on lisait encore la luxure en filigrane dans ses yeux couleur bleue de la mer par beau temps.
La nuit noire telle une bulle semblait l'envelopper tout entier, une nuit débutait.
Cet homme mythomane en recherche du graal s'engouffra dans une sombre ruelle, il aperçut la misérable maison tout au fond du passage, noyée dans l'ombre à étoiler d'astres.
Doucement, il poussa la lourde porte entrouverte qui grinça. L'Anglais Pénétra à l'intérieur, une odeur de poussière chatouilla ses narines…..
La Détresse.
Je saisis toute la détresse de tes yeux
Toi, dont aucune joie ne t’éclaire ici-bas
Je comprends ton immense chagrin
Et tout ce que recèle ton regard douloureux
Avec l’aide de Dieu, je calmerai tes pleurs
Ta peine ignoble, toute ta désespérance
Ton deuil est impossible, tu le caches
Dans la vie infinie de ta détresse
Ton regard se lève vers le ciel, son ciel
Je sais, tu ne vois rien, tu l’espères
Douleur insupportable de sa disparition
Tu ne le vois plus et tu en meurs
C’était ton petit malgré sa grandeur
Il t’aimait et tu l’adorais, ô chagrin
Ça te fait mal, souffrance indélébile
Existence sans lui, insoutenable mort
Qui te consolera d’une telle détresse
Personne ne pourra, seul l’ange
Intolérable absence, vide immense
Moi, je sais à quel point ton cœur saigne
Là, j’entends, tu sanglotes…
Extrait de « L’éclipse d’un soleil.»