Que Dieu et le divin nous manquent, c’est là une absence. Seulement, l’absence n’est pas rien, elle est la présence –qu’il faut précisément s’approprier d’abord- de la plénitude cachée de ce qui a été et qui, ainsi rassemblé, est : du divin chez les Grecs, chez les prophètes juifs, dans la prédication de Jésus. Ce « ne…plus » est en lui-même un « ne… pas encore », celui de la venue voilée de son être inépuisable.