Nationalité : France
Biographie :
Martine Bazin est née à Marseille. En 1975, après un stage au centre de chèques postaux, et la proposition, par le chef d’établissement, d’un plan de carrière, elle fuit la grande ville pour aller respirer l’air de la campagne, préférable à celui, confiné, des salles de calcul.
Elle s’installe à Banon, dans les Alpes de Haute Provence, et se spécialise dans la vente de terrains, maisons, propriétés. Quelques années plus tard, elle crée, avec son mari, une agence immobilière à Forcalquier. Ce n’est que lorsque ses enfants en prennent la direction, qu’elle peut enfin se consacrer à la réalisation d’un rêve qu’elle croyait inaccessible : l’écriture d’un livre.
Une joie de prendre pour cadre de ses ouvrages, les paysages attachants des Alpes de Haute Provence.
« Marie la bergère » est son premier polar, « Léonce dans les bois du Largue », le deuxième, « la ferme du bout de la nuit », le troisième. Elle ne compte pas s’arrêter là.
+ Voir plusMartine Bazin est née à Marseille. En 1975, après un stage au centre de chèques postaux, et la proposition, par le chef d’établissement, d’un plan de carrière, elle fuit la grande ville pour aller respirer l’air de la campagne, préférable à celui, confiné, des salles de calcul.
Elle s’installe à Banon, dans les Alpes de Haute Provence, et se spécialise dans la vente de terrains, maisons, propriétés. Quelques années plus tard, elle crée, avec son mari, une agence immobilière à Forcalquier. Ce n’est que lorsque ses enfants en prennent la direction, qu’elle peut enfin se consacrer à la réalisation d’un rêve qu’elle croyait inaccessible : l’écriture d’un livre.
Une joie de prendre pour cadre de ses ouvrages, les paysages attachants des Alpes de Haute Provence.
« Marie la bergère » est son premier polar, « Léonce dans les bois du Largue », le deuxième, « la ferme du bout de la nuit », le troisième. Elle ne compte pas s’arrêter là.
Source : www.librinova.com/
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"Il n'y a pas de hasard, il n'y a que des rendez-vous."
(Paul Eluard)
(Paul Eluard)
"Olivier voit la crainte dans les yeux de cette femme effondrée. Doit-il courir après Fernand pour le retenir ? Il décide de ne pas bouger, malgré l'émoi qu'il a décelé chez Colette : la peur que son mari, en s'éloignant, ne commette l'irréparable. Il sait et Colette aussi, qu'en sa présence, elle ne pourra parler librement. Or, l'heure est venue de sauter le pas. Fataliste, elle murmure :
_On ne peut lutter contre son destin."
_On ne peut lutter contre son destin."
"_Dans quel but ?
_Je souhaite mettre des noms, des adresses, des destinations, enfin des devenirs sur des gens qui ne représentaient plus rien pour la milice, la police et les nazis. Ils ne songeaient qu'à les éliminer ! Je veux leur rendre leur humanité ! Une existence ! Même s'ils sont morts !"
_Je souhaite mettre des noms, des adresses, des destinations, enfin des devenirs sur des gens qui ne représentaient plus rien pour la milice, la police et les nazis. Ils ne songeaient qu'à les éliminer ! Je veux leur rendre leur humanité ! Une existence ! Même s'ils sont morts !"
"Beaucoup de gens ont peur du bonheur. Pour eux, ce mot signifie modifier une partie de leurs habitudes, et perdre leur identité...
De peur de rapetisser, nous oublions de grandir. De peur de pleurer, nous oublions de rire."
(Paulo Coelho)
De peur de rapetisser, nous oublions de grandir. De peur de pleurer, nous oublions de rire."
(Paulo Coelho)
"Son teint éclatant, son corps ferme et robuste d'une fille de la campagne vivant au grand air la rendent resplendissante. Mais pourquoi tant de soins ? Elle n'a pas de rencontres prévues. Oui, se dit-elle, j'ai rendez-vous avec la vie."
"_Oui, je vois ! je viens de recevoir un coup de fil du Procureur. Du'as-tu obtenu d'elle ?
_Rien, mais je vous assure qu'elle est plus qu'attirante avec son tailleur très strict et ses dessous...affriolants, je dirais."
_Rien, mais je vous assure qu'elle est plus qu'attirante avec son tailleur très strict et ses dessous...affriolants, je dirais."
"_Malgré cela, tu l'as écoutée !
_On doit honorer ses promesses !
_Quelle folie ! C'était la guerre !
_Guerre ou pas, il n'a jamais été glorieux de dénoncer son prochain pour l'envoyer à la mort !"
_On doit honorer ses promesses !
_Quelle folie ! C'était la guerre !
_Guerre ou pas, il n'a jamais été glorieux de dénoncer son prochain pour l'envoyer à la mort !"
"_Je suis sûr d'avoir loupé quelque chose. Avec tous ces gens autour de moi, j'avais du mal à me concentrer. Ensemble, nous avons plus de chance : quatre yeux valent mieux que deux."
Désormais à la retraite, elle a enfin réalisé le projet dont elle avait parlé à Lily : exploiter sa passion pour l cuisine en organisant des stages à thèmes suivant les saisons : confitures insolites, conserves de légumes, de fruits, de champignons à l’automne, plats régionaux dont la soupe au pistou, ratatouille, tapenade, caviar d’aubergine et en hiver, cassoulet, daube de Provence, foie gras. [Juliette, amie de Lily]
Ce lieu réunit les ingrédients d’une Provence qu’ils affectionnent, sauvage et attachante : la terre rocailleuse, la nature des arbres qui confèrent à ce terrain un aspect indompté, les vieilles pierres des murets de clôture grisées par les ans, la vue sur ce village dont les maisons s’enrubannent de brume au petit matin. [Le terrain d'Olivier et Lily]
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Une expression
Avoir l'esprit d'escalier, c'est: (Indice: image du quiz.)
avoir le vertige en regardant les marches d'un escalier
avoir la phobie de l'ascenseur
monter les marches à toute allure pour garder la forme
manquer de répartie
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