« Que faisaient les forces de l’orde dans une telle situation ? .
Apparemment les braqueurs ne voulaient pas communiquer et moins encore négocier, du moins pour l’instant.
Attendaient - elles que les braqueurs sortent ?
Mais ils auraient forcément des otages et ça pouvait finir dans un bain de sang.
Si les unités d’intervention donnaient l’assaut , dans ce cas- là aussi, les victimes seraient inévitables.
Le temps passait et le temps était le pire ennemi des deux parties » .p141.