Car si un État admet avoir des comptes à lui rendre sur sa politique d’immigration, comment pourra-t-il ignorer ses injonctions sur des sujets autrement plus stratégiques aux yeux de l’hôte du Vatican, sur les valeurs non négociables attachées à la sexualité humaine et à la vie, cette vie qui ne nous appartient pas mais appartient à Dieu, de la conception à la mort naturelle.