Citations de Mary E. Pearson (217)
«Ôter la vie de devrait jamais être une chose facile, même quand la personne est coupable»
"L'amour est toujours une affaire compliquée dont il vaut mieux ne pas se mêler. Il n'y a pas de règles à suivre. C'est pour ça que je préfère la vie de soldat. Je la comprends bien mieux."
"On a toujours des choix. Certains sont juste plus difficiles à faire que d'autres."
Façonner un rêve peut prendre des années. Le détruire ne prend qu’une fraction de seconde.
" Elle a peur que je me perde.
Se perdre v. pronom. 1) Etre réduit à rien, cesser d'être. 2) S'égarer, ne plus retrouver son chemin. 3) Etre incapable de comprendre, s'embrouiller.
Je crois que c'est déjà le cas."
L'enfer n'était pas fait de flammes, mais de bourrasques de poussière et de sable.
« J'ai été chérie. Adorée. Accablée d'espérances. J'ai été tout ce que les bébés peuvent être. J'ai dansé autant que j'ai pu. Étudié. Je me suis entraînée. J'ai fait de mon mieux pour devenir tout ce qu'ils rêvaient que je sois. »
- Il faut bien que ce soit quelqu'un. Pourquoi pas toi ?
- Pour une centaine de raisons. Un millier.
- Les règles de la logique ont bâti des tours qui s'élèvent au dessus des arbres. Celles de la confiance en ont bâti qui touchent les étoiles.
«L'espoir est aussi fuyant qu'un poisson, il finit toujours par nous échapper», disait ma tante Cloris quand je voulais quelque chose qu'elle estimait puéril et impossible. « Alors il faut redoubler d'efforts et tenir bon».
Il y a un véritable passé
Et un véritable futur.
Tendez l’oreille
Car l’enfant née de l’adversité
Sera porteuse d’espoir.
De la plus faible viendra la force.
De la proie viendra la liberté.
"Savait-il vraiment ce qu'était l'amour ? Et moi, d'ailleurs, le savais-je ? Même mes parents semblaient ignorants à ce sujet. Je croisai mes bras derrière ma tête en guise d'oreiller. Il y avait peut-être plus d'une définition. Plus de manières d'aimer que de nuances de bleu dans le ciel."
"_Est-ce qu'elles savent ?
_Pas encore.
Mais nous savions toutes les deux que ce n'était qu'une question de temps avant que Pauline ne soit obligée de leur avouer. Certaines vérités refusent de rester cachées."
"Façonner un rêve peut prendre des années. Le détruire ne prend qu'une fraction de seconde."
"Les identités ne sont pas forcément distinctes. Parfois, elles se mêlent les unes aux autres. Parfois elles peuvent même être partagées."
"Je sais que ce n'est pas vivre c'est seulement exister!"
"_Tu es une piètre menteuse, Lia.
Je le fusillai du regard.
_Non, à vrai dire, je peux être une très bonne menteuse, mais certains mensonges nécessitent plus de temps pour être crédibles."
"L'ennemi n'arrive pas toujours en grande armée, gamin. Parfois, une seule personne suffit à renverser un empire."
- Oui, j'ai envie de t'embrasser, Jase Ballenger. Pas pour me donner en spectacle ni pour tirer le meilleur parti de la situation. J'ai envie de t'embrasser parce que j'ai envie de toi, de toi tout entier, même des choses chez toi qui me rendent dingue, parce que tu m'as infectée avec un poison dont je ne veux pas guérir. Pourtant, j'ai plus envie de toi que de respirer. Oui, Jase, j'ai envie de t'embrasser mais je ne peux pas te promettre de lendemains.
Il me dévisagea, et je vis chaque mot que je venais de prononcer passer dans ses yeux tandis qu'il me jaugeait, les examinait, les rejetait ou les assimilait. Enfin, ses épaules se détendirent d'une fraction de centimètre, et il eut un sourire en coin.
- Un poison ? Puisque tu es déjà infectée, un peu plus ou un peu moins...
"Combien reste-t-il qui soit vraiment moi ?"
Ses lèvres tremblent. Ses yeux se remplissent de larmes.
Lily intervient :
"Dix pour cent. Dix pour cent de ton cerveau. C'est tout ce qui pouvait être sauvé. on aurait dû te laisser mourir."
"Malgré ce sourire qui ne présageait rien de bon pour moi, je me sentais revigorée. Certaines choses devaient être dites. Fière de mon audace, j'allai tenter ma chance avec des obstacles moins dangereux."