Les femmes allemandes remplissaient les emplois laissés vacants par les hommes. Aucune entreprise n’était trop difficile pour elles, et aucune tâche trop ardue.
Les pauvres ouvrières allemandes ! Dans toute la guerre, nul ne souffrit autant que ces pauvres créatures. Leurs hommes leur avaient été enlevés ; elles ne touchaient que quelques pfennigs par jour du gouvernement et elles devaient maintenant travailler, travailler comme un homme, travailler comme un cheval.