Pendant plusieurs années, j’ai vécu avec cette épée de Damoclès au-dessus de la tête. Je voyais cet homme merveilleux se dégrader peu à peu, mais j’avais décidé de ne pas le placer dans une maison de santé tant qu’il n’était pas dangereux pour lui ou pour les autres. Qu’il meure avant de m’obliger à le faire a été un soulagement.