– Quant à toi : tu n’as même pas à choisir les fleurs que tu aimes. Tu n’auras qu’à me montrer celles que tu détestes le plus, que tu ne supportes pas, et je ferai tout mon possible pour qu’il n’y en ait pas lors du grand jour.
– Chérie…, fit-il en tournant une page de son journal. Je n’ai pas de sentiments aussi forts envers les fleurs.
– Tu as grandi dans une ferme ! Tu dois bien avoir des préférences.
– Chérie, j’ai un pénis… donc, je n’ai aucune préférence.