On reconnait le chemin qui mène à l'hôpital aux joyeux commerces semés par le Petit Poucet de la mort. Quand j'étais petit, je croyais que les magasins de pompes funèbres vendaient des chaussures pour les morts. Des modèles vernis, neufs pour toujours, qui auraient le doit de faire mal aux pieds.