Sylvia a quelque chose d’un ange qui vivrait bien sa nouvelle condition d’humain. Une intelligence pétillante de douceur. Et tout le monde autour d’elle flotte dans cet humour décontracté. Même le chien a l’air d’avoir lu Shakespeare, et le chat blanc qu’on peut croiser à l’étage est si mystérieux qu’il semble écrire lui-même des poèmes.