Pendant près de quarte ans, que ce soit en tant que freelance ou salariée, j'y ai fait l'expérience d'une précarité sociale et d'un appauvrissement intellectuel inquiétants, depuis la mise en circulation d'un langage vidé de sa substance au point d'en devenir absurde jusqu'au spectacle de diplômés polyglottes venus du monde entier pour exécuter des tâches répétitives et débilitantes, se vantant en continu sur les réseaux sociaux de l'importance de leur activité professionnelle.