Tout au long du trajet, le père d'Eileen jetait des coups d'oeil à sa montre et pressait le pas à l'approche de leur immeuble. Parfois, Eileen ne parvenait plus à le suivre, alors il la portait sur la dernière ligne droite. Parfois aussi, elle faisait exprès de traîner les pieds pour qu'il la prenne dans ses bras. (p19)