Nous n’avons rien en commun. Rien de chez rien. Mais il trotte dans ma tête. Il fait même du galop. Et pas que dans ma tête. Dans mon ventre aussi. A croire qu’il y a déposé tout un tas de chenilles qui, jour après jour, se transforment en papillons et ne cessent de voler entre mon estomac et mon intestin.