"Toute l'énergie psychique est dévolue à l'échafaudage et aux ravalements successifs d'une façade de l'être qui vue de l'extérieur semble lisse et propre, presque sereine, pour autant qu'elle contient une liberté pulsionnelle redoutée. Mais son corps qui n'abdique pas si facilement tend à se lézarder. Le sujet vit alors selon les cas son corps comme plus ou moins étranger à lui-même, non réel, asséché, ce qui rend celui-ci persécuteur jusqu'à être vécu comme la source du mal."