"Je ne conteste ni les bonnes intentions de cette fondation candide, ni le dévouement désintéressé de ses collaborateurs.
Seulement je me demande ce que le "Théâtre du peuple" peut faire de bon et d'utile.
Je ne le vois pas.
Pourquoi vouloir enseigner aux braves paysans l'art de bafouiller des banalités, de faire des grimaces, de se maquiller ?
Laissez-leur donc le peu de simplicité et de naturel qu'il leur reste encore.
Ça vaudra mieux".
("Charivari", 30 août 1897)