Ce jour-là, nous avons renoncé à la liberté, et avec le sourire en plus. Ce jour-là, on a compris ce qu’était la vraie liberté : celle de désigner quelqu’un du doigt et de dire : « Il m’a ordonné de le faire. C’est de sa faute, pas la mienne ! » Que Dieu nous vienne en aide… La liberté de dire : « Je n’ai fait qu’obéir aux ordres. »