Cette enfant riche, prenant sur son sommeil pour habiller un petit miséreux, n’était plus l’Yvette moqueuse et espiègle que j’avais coutume de voir. Sous son enveloppe légère, elle m’apparaissait soudain transformée, grandie, embellie. Ce n’était plus une enfant que j’avais devant moi : non. C’était une femme avec un cœur capable de comprendre et de soulager le malheur… un cœur susceptible de dévouement !