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4.21/5 (sur 34 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Maxime Desrochers est un auteur de nouvelles et de romans gays.

Son premier récit, autobiographique : "Si tu m'aimes comme je t'aime..." est paru en 2009. Depuis, il n'a cessé d'écrire.

A ce jour, il a son actif pas moins de treize romans et treize nouvelles.

son site : http://maxime-desrochers.fr/
son blog : http://maximedesrochers.skyrock.com/

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Bibliographie de Maxime Desrochers   (23)Voir plus

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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
(Kynan et Johan) "Cette nuit où tout s’est fini" par Lo Lavisse
C’est à ce moment-là aussi que je me suis rendu compte que pour toi, je n’avais pas le droit d’être jaloux d’elle, mais que toi, tu avais le droit d’être jaloux de Seb. Combien de fois quand il passait les bras autour de ma taille et qu’il m’embrassait dans le cou, tu nous disais « Il y a des chambres d’hôtel pour ça ». À chaque fois, je te regardais en fronçant les sourcils. Il m’était même arrivé, sur le chemin du retour après l’école de te demander pourquoi tu te comportais de cette façon avec Seb et moi. À chaque fois, tu me répondais par un haussement d’épaules. Je me souviens qu’un jour, j’en ai eu marre. Je t’ai arrêté en posant une main sur ton épaule et je t’ai forcé à te retourner vers moi. Je t’ai regardé. J’ai regardé tes magnifiques yeux bleu foncé et je t’ai demandé du but en blanc « Tu peux m’expliquer pourquoi tu te montres agressif envers Seb et moi ? Je croyais que tu étais heureux
pour moi. » Tu m’avais alors regardé sans ciller et tu m’avais répondu « Et bien j’ai menti. Je ne l’aime pas. Il m’insupporte. Il pose… » J’avais haussé un sourcil quand tu t’étais brusquement arrêté de parler. Je t’ai alors demandé ce que tu voulais dire. J’ai eu droit à un « laisse tomber ». Mais cela n’avait pas été suffisant. Je t’ai poussé contre le mur d’une vieille maison et je t’ai crié dessus pour que tu me dises la vérité. Alors tu m’as avoué d’une voix brisée « Il pose les mains sur toi et je n’aime pas ça. La voilà la réponse ». Je t’ai longuement regardé. Tu m’avais surpris avec tes paroles. Je ne sais plus comment c'est arrivé, mais je me suis retrouvé collé à toi en train de te dévorer la bouche. Oh seigneur. J’aurais pu t’embrasser jusqu’à notre mort tellement c’était le bonheur. J’ai senti tes mains entourer ma taille et tu as répondu à mon baiser. Comme si ta vie en dépendait. Nos langues se sont livré une bataille. Nos corps se sont frottés l’un contre l’autre. Nos mains sont parties à la découverte du corps de l’autre jusqu’à ce qu’un bruit sur le côté nous oblige à nous écarter l’un de l’autre. Tu m’as regardé. J’ai fait la même chose, puis… tu m’as brusquement repoussé et tu es parti en courant. Me laissant planter là.

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(Michel et Stéphane) "Au-delà du voile" par Maxime Derochers:
La porte se referma derrière lui. Une douce pénombre régnait dans la chambre et Michel, couché sur le dos, semblait dormir déjà. Stéphane retira son boxer et vint s'allonger contre son ami, celui-ci bougonna un peu entre ses dents avant de se remettre à ronfler très légèrement. Stéphane jubilait. Il profitait de la douce chaleur du corps de son ami, se repaissait de son odeur si familière, se faisant violence pour ne pas l'éveiller en lui sautant carrément dessus. Très lentement, il entreprit d'arpenter son corps d'une main légère, faisant pointer ses tétons de garçon fièrement avant de se diriger résolument vers son bas-ventre. Le loup était encore solidement reclus en son antre de tissu, en un état de somnolence totale, Stéphane se fit fort d'éveiller la bête par de délicieuses caresses et quand cela fut fait, il s'en empara entre ses lèvres… Michel écarquilla les yeux de stupeur en sentant cette douce moiteur enveloppant son sexe en plein émoi ! Il sut de suite que ces lèvres qui le maltraitaient aussi agréablement ne pouvaient appartenir qu'à son doux amant. Il enveloppa sa tête de ses mains et l'accompagna dans cette fabuleuse fellation avant d'exiger une réciprocité que l'obligation d'abstinence avait élevée au rang d'impérieuse nécessité. Leur jouissance fut si furieuse qu'ils eurent bien du mal l'un et l'autre à honorer leur divin nectar. À peine remis de leurs premières émotions, ils s'enlacèrent et s'offrirent une multitude de baisers et de caresses sur leurs corps enfiévrés jusqu'à ce qu'ils se sentent suffisamment en forme pour s'unir charnellement.

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