Maxine Paetro

Patterson, première !

Personnification du verre à moitié plein ou à moitié vide.



A moitié plein :

Le psychopathe manipule et extermine avec brio. Personnage attachant ( visiblement gros amateur des nœuds de marin sur drôlesse en détresse ) et tranchant ( petite préférence pour la nuque ), il attire une sympathie immédiate et entière.

Le scénario de base est bien ficelé, la sauce prend d'entrée de jeu.

Une première partie enlevée faisant la part belle à ces troubles de la personnalité si trognons. Les personnages sont bien campés ( remerciements z'émus aux tentes Quechua ), l'écriture précise et suggestive, le lecteur est ferré, y a plus qu'à dérouler.



A moitié vide :

Et là, c'est le drame. D'un psychopathe pervers plutôt doué dans son boulot, l'auteur nous dresse ensuite le portrait d'un serial killer en mal de célébrité. Closer, Détective et autres journaux d'investigation du même acabit n'étant pas assez hype pour lui, c'est tout naturellement vers notre journaliste enquêteur, Ben Hawkins, qu'il va se tourner pour un moment d'anthologie digne des plus beaux épisodes de confessions intimes. Là j'ai envie de te dire non James. Pourquoi se tirer une balle calibre 12 dans le pied alors que le canevas de base était solide et ne demandait qu'à être un peu plus étoffé ? Hein, dis, pourquoi tant de laine ?



Ce Bikini, c'est un peu un tir à la Zlatan du milieu de terrain qui atterrirait sur la transversale. L'idée est géniale, la réussite pas vraiment au rendez-vous. Une chose est certaine, ce Patterson avait néanmoins un petit goût de reviens-y, ce que je ferai très rapidement incessamment sous peu dans un futur très proche !

Il me semble que Patterson a fait bien mieux, cent fois mieux, en matière de suspense et d'intrigue haletante.



Rien de tel dans cette 15e affaire qui se traîne lamentablement, l'intrigue -- s'il y en avait une car même le dénouement ne la résout pour ainsi dire pas -- se traînant entre les doutes conjugaux de Lindsay Boxer, le passé hypothétique de son mari, sa vie familiale ingérable, le tout avec un semblant d'espionnage ou s'entremêlent FBI, CIA et pas mal de personnages qui ne font que passer sans que leurs inter-actions soient bien clarifiées.



Dix pages d'action vers la fin, plus que décevante, non pas dans la solution d'un suspense douteux, mais dans sa forme même, complétée par une dose de mièvrerie typique du mauvais polar américain.



Je lirai encore Patterson en espérant retrouver de vrais moments de suspense et d'action intenses tels que j'ai eu le plaisir d'en vivre quelques-uns en sa compagnie.

Le lieutenant Lindsay Boxer est dans l 'attente de son procès où elle est accusée d'avoir tiré sur deux adolescents qui l'avait pris pour cible. En congés forcés ,elle va chez sa sœur à Half Moon Bay dans la baie de San Francisco pour s'y reposer mais des meurtres endeuillent la petite ville et elle ne va pas résister à enquêter d'autant que le modus operandi du meurtrier lui rappelle une vieille affaire non élucidée .Un bon thriller .

Nouvelle grande première pour moi avec la découverte di "Women Murder Club" de James Patterson. Et comme je n'aime pas faire les choses conventionnellement et comme tout le monde, j'ai décidé de commencer ma découverte par le quatorzième et dernier tome de cette série !



Que dire, sinon que James Patterson ne renouvelle pas le genre du polar avec ce roman mais bien que n'étant pas très novateur, je dois dire que la sauce prend et plutôt bien.



Dans ce quatorzième tome, l'attention se focalise principalement sur deux des amies/membres du Murder Club. L'une, inspecteur de police, est au prise avec une bande de braqueur et un tueur en série tandis que l'autre, avocate, essaie de prouver l'innocence d'un adolescent mort en prison alors qu'il était injustement emprisonné.



Ces différents évènements semblent n'avoir aucun lien les uns avec les autres mais, .... lisez le livre pour en savoir plus !



En conclusion, rien de bien neuf au niveau de l'intrigue mais l'écriture en chapitres très courts fait qu'on a une impression de rapidité et de fluidité dans le récit. Autant dire qu'une fois que vous aurez pris ce livre en main, vous ne le reposerez qu'une fois terminé ..... JE VOUS AUREZ PREVENUS !!!

Innovation dans le genre (policier): ça parle d'un serial killer...



Plaisanteries mises à part, l'une des faiblesses de ce thriller est qu'il est prévisible.

Des personnages un peu plus travaillés auraient sans doute permis que l'on s'y attache mais il sont sont tellement stéréotypés que tout ce travail d'écriture est sans doute volontairement épargné au lecteur qui veut lire vite.



Si l'intrigue est sommaire et, à mon avis, mal ficelée et inaboutie, il y a quand même une morale qui illumine l'ensemble qui est du style : "non ce n'est pas bien de relâcher les récidivistes, plutôt la chaise électrique"... A ne pas rater, car c'est le seul moment du livre qui amène le lecteur à réfléchir sur les 300 pages précédentes. Pour faire le point, en somme.



Bref lire ce livre permet de s'évader; vers d'autres auteurs.



Rattrapage: "Don't blink",du même auteur, m'a paru bien supérieur.

Mouais, mouais, mouais… On est bien loin de 1er à mourir dans ce 8ème opus… mais étant une personne fidèle, même en lecture, je persiste à me dire qu’il y a de l’espoir pour le women's murder club et puis j’adore Lindsay Boxer. Y avait de l’idée c’est sûr mais l’histoire reste plate et les rebondissements peu nombreux. C’est ce qu’on attend d’un livre, d’autant plus d’un de ceux de James Patterson, c’est l’auteur d’Alex Cross, nom de D… Mais j’y crois et je lirais les autres parce que même si je n’aime pas beaucoup l’expression « bon bouquin de plage », pour la lobotomie post-taf, it’ll do the trick…

Un sujet pourtant grave, mais un polar du genre« fast-food », comme une série télé où tout se règle en trente minutes, avec des situations qui s’entrecoupent pour y insérer des scènes d’amour, des larmes et des crimes sanglants.



Un thème prometteur, les erreurs médicales dans les hôpitaux, mais pas le temps d’analyser ici les motivations des criminels, pas de déductions ou de fines analyses, de l’action et des rebondissements (et même, pour faire vraiment américain, des jolies filles dans de grosses bagnoles!)



Si vous aimez l’action et les intrigues judiciaires ainsi que les sympathiques jeunes femmes qui poursuivent les criminels, vous passerez un bon moment, sans que l’angoisse ne vous empêche de dormir.

C'est un énième James Patterson, et pas vraiment ma tasse de thé. Un de temps en temps, ça va. J'avais adoré le premier des Women's murder club, et puis il y a eu la série TV. Et là, je dois avouer que j'ai vraiment adoré. J'aime beaucoup les actrices, principales protagonistes, et j'ai été très déçue que la série avorte à la fin d'une saison.

Ensuite, j'ai plus survolé que lu les 16 romans suivants, et puis je me suis dit que j'allais tenter ce dernier, histoire de voir s'il allait m'époustoufler. Ce ne fut pas le cas.

Attention, je ne dis pas qu'il est mauvais, loin s'en faut, mais je l'ai trouvé banal, un peu calqué sur tout le reste, livres et série mélangés. Une enquête pour chaque bouquin, un peu de suspense, certes, mais rien qui me fasse tressaillir ou même frémir. Je ne peux même pas dire que j'aie été déçue, je m'y attendais, même sans partir sur un a priori négatif. J'aurai aimé qu'il en soit autrement et que l'auteur me scotche.

C'est très difficile de ne pas établir de parallèle entre une série et une saga. Si on prend par exemple Tess Gerritsen, qui m'a vraiment passionnée et prise aux tripes avec le Chirurgien, la série Rizzoli & Isles a pris le relais et il m'était difficile de lire les livres suivants. de plus, l'actrice Angie Harmon, que j'adore, est la vedette des deux séries précitées.

Pour résumer, voilà, je l'ai lu, point. Mais ce n'est que mon avis, ne vous découragez pas pour autant.

Dans 15e affaire, Lindsay et Joe s’étaient séparés, en raison de la double existence de ce dernier. Alors qu’ils tentent de se retrouver, lors d’un dîner au restaurant, une explosion a lieu dans le musée voisin. Ils se précipitent sur le lieu de l’attentat. Un homme admire les dégâts et déclare être fier de son œuvre. Alors que Lindsay arrête le suspect, Joe pénètre dans le musée et est grièvement blessé lorsque survient une deuxième explosion.





Le lendemain, le terroriste présumé revient sur ses aveux. Lors de son procès, c’est le travail des enquêteurs, en particulier celui de Lindsay, qui est incriminé.





En parallèle, un tueur en série sévit dans la ville.





Je suis complètement fan de la série du Women’s murder club. J’ai lu toute la série dans l’ordre, cependant, je pense que même si vous n’avez pas lu les tomes précédents, vous ne serez pas perdus en lisant La 16e séduction.





Dans cet opus, l’intégrité et le professionnalisme de mon enquêtrice adorée sont remis en cause. L’homme qu’elle a arrêté est-il coupable ? Aucune preuve directe ne permet de l’attester. En raison des rebondissements et des doutes égrenés avec talent par les deux auteurs, je n’ai plus su où se situait la vérité.





Le procès de Grant Connor, un professeur de physique, est un moment très fort. Alors que les forces de l’ordre sont persuadées de tenir le coupable, l’accusé se défend avec brio et sème le trouble dans l’esprit du lecteur. Cela montre aussi la difficulté du travail des policiers lorsqu’ils ne trouvent pas de preuves étayant leur conviction profonde. J’ai été tenue en haleine et j’ai été déstabilisée par cette affaire judiciaire. J’ai adoré être malmenée ainsi.





Le rythme de La 16e séduction est aussi maintenu par l’urgence de trouver qui est le tueur en série. Le mode opératoire est d’une rapidité incroyable. Les victimes semblent être choisies au hasard, car aucune caractéristique commune ne les relie.





La suite
Lien : http://www.valmyvoyoulit.com..

La 11 ème et dernière heure de James Patterson, ce livre m'a un peu déçue, deux histoires policières en parallèle tirées par les cheveux. Lindsay attend un heureux événement on en parle au début mais on n’exploite pas la nouvelle plus que ça .Elle mène les enquêtes au péril de mettre son mariage en danger.

Ah, ah, ah, j'en ris encore, si-si, un polar chick-litt, il manquait plus que ça, vous allez voir on aura droit à : Qui a volé le caddy de l'accro du shopping? de Kinsella ou Bridget Jones a t-elle tué Hugh Grant? de Fielding.

Bon un peu de sérieux, quatre femmes, une fliquette, une avocate du procureur, une journaliste et une légiste composent le Women Murder Club, alors forcément elles se réunissent pour des soirées entre filles, dans leur bar préféré ou d'autres et elles laissent aller leurs sentiments, les amours qui se font ou se défont, les hommes en général, leurs déceptions, etc. Pour couronner le tout, à la fin, la fliquette accepte la demande en mariage de son compagnon. Sur les 450 pages cela fait quand même pas mal de blabla inutile, quoique comme elles sont mêlées, plus ou moins toutes dans les enquêtes, elles en causent un chouia de temps en temps, mais pas trop, tenues qu'elles sont au secret professionnel.

Sinon, les deux enquêtes ne sont pas si mal, il manque du liant, du plus explicatif, de l'évidence plutôt que l'à-peu-près que Patterson nous octroie. Bref d'un messie au départ on s'aperçoit, le livre allant, que c'est une ordure (c'est courant, les apparences sont trompeuses) qui irrite la populace, camés, SDF et autres. Pour la seconde intrigue, nous avons droit, en plus, compris dans le prix du bouquin, à une voix off, celle de l'assassin et une enquête chez les riches moins bien menée que les habituels du genre, Rankin, Ellroy et même Poirot. Cela manque de poigne, c'est fadasse, tarabiscoté, fouillis, on ne suit pas ou peu, pas transporté le lecteur, déçu dirais-je mais bon, ce n'est que mon avis et l'égout et les couleuvres, hein...

Que dire de l'écriture? Il y a mieux!

Sans remord ni regret et je réfléchirai à deux fois avant de relire du Patterson. C'est, quand même, surprenant pour un homme qui a gagné X millions de $, l'année dernière, avec sa plume.
Lien : https://www.babelio.com/livr..

La petite Julie Boxer est née ! Mais alors que Lindsay et Joe nagent dans le bonheur avec leur bébé , la ville de San Francisco va être le théâtre d'une série de meurtres aussi étranges qu'effroyables. Un soir , un excentrique professeur de littérature fait un cauchemar sanglant. Convaincu qu'il s'agit d'un rêve prémonitoire , il s'empresse d'aller prévenir la police. C'est alors qu'une femme est sauvagement assassinée en plein jour , au beau milieu d'un supermarché. Tout s'est déroulé comme dans le rêve du professeur , au détail près....Lorsqu'un corps disparaît mystérieusement de la morgue , Lindsay ,reçoit un coup de fil désespéré de son supérieur. Elle n'a d'autres choix que de reprendre du service, quelques semaines seulement après avoir accouché. Mais pour Lindsay , tous ces crimes ne sont rien face à l'annonce d'une terrible nouvelle , qui risque de faire basculer son monde...... "couverture du livre "

Bon, j’avoue m’être laissé tenter par un James Patterson parce qu’il a co-écrit récemment deux thrillers avec un ancien président des États-Unis. Deux bouquins plutôt bons. Il était peut-être temps de découvrir qui était cet auteur qui apparemment vend beaucoup aux États-Unis.



Lindsay Boxer est une flic du San Francisco Police Departement a la vie chargée, son mari, ex du FBI, est aux abonnés absents, son travail est prenant, heureusement elle a une super voisine qui s’occupe de sa fille et la bichonne en l’absence de sa mère.

Lindsay est appelée sur un quadruple meurtre dans deux chambres d’un hôtel de luxe. Deux des morts étaient manifestement en train d’espionner ce qui se passait dans la chambre d’à côté, où un professeur d’université d’origine chinoise passait du bon temps avec une sculpturale femme qui n’est pas passée inaperçue. Le prof a lui aussi été exécuté. L’inconnue pourrait bien être la meurtrière, mais rien n’est sûr : le réseau wifi, et les caméras qui y sont liées, est tombé en panne au moment des faits.

Lindsay piétine et commence à s’inquiéter quand son mari, chargé de sécurité aérienne, disparaît alors qu’un avion est détruit à l’atterrissage à San Francisco.

Les faits sont-ils liés ? Et comment expliquer qu’un corps disparaisse de la morgue ?



L’intrigue est correctement menée, sans plus. On est loin d’un thriller trépidant. Une des surprises du livre (pour moi) est le côté très féminin du discours, lié à l’héroïne et à ses copines, médecin légiste ou journaliste (… le Women’s Murder Club). Cet aspect se traduit notamment par des descriptions complètes des tenues des unes et des autres, marques des vêtements compris. Une façon de faire qui rappelle (et c’est pas un compliment) Mary Higgins-Clark. Cette touche féminine est sans doute l’apport de la co-auteur de cette série, Maxine Paetro.

Pourquoi pas… mais il aurait peut-être fallu injecter un peu plus de tonus dans l’histoire, et éviter de partir dans des pages de «en fait il est de la CIA, pas elle », ou l’inverse. Car, oui, on finit sur ce qui est de l’espionnage et c’est sans doute la plus mauvaise partie du récit.



C’était un essai, et il n’est pas franchement concluant. Même si je ne suis pas vraiment ennuyé, il n’est pas sûr que je relise de sitôt un James Patterson – ou peut-être son autre série Alex Cross...

17e suspect James Patterson J.C .Lattès

#17eSuspect #NetGalleyFrance

San Francisco, un tueur en série s'attaque à des SDF , Lindsay est contactée par une femme SDF à priori bien informée.

San Francisco, Yuki prend en charge la plainte de Marc Christopher qui accuse sa responsable de l'avoir violé...

Deux femmes, deux récits qui s'alternent.

Je ne connaissais que de nom James Patterson, l'occasion s'est présentée de découvrir la plume de cet auteur très prolifique. Sincèrement je n'aurai pas du pénétrer dans son univers par le 17 è volet des aventures des Women's Murder Club!! Pour les inconditionnels des séries TV, les amateurs de chapitres courts qui confèrent du rythme au récit c'est sans aucun doute l'auteur qui leur convient.

J'avoue n'avoir pas été conquise par cette lecture , des personnages superficiels( je n'ai pas lu les 16 tomes précédents ceci dit!) , deux histoires sans aucun point commun sauf la présence dans chacune d'elle de 2 amies proches, une écriture à la va-vite.

Il ne me reste qu'à remercier les éditions J.C Lattès pour leur confiance.

Dans ce tome, la vie privée de l'enquêtrice et sa vie professionnelle sont étroitement liées. Pauvre Lindsay ! Elle est vraiment malmenée : son enquête piétine, un homme semble l'avoir prise pour cible, son mari disparaît et des découvertes lui font douter de la vie qu'elle a construite.

Sur fonds de meurtres, services secrets et terrorisme, ce thriller est rempli de rebondissements qui tiennent en haleine.

Dans cet opus, les filles du Club sont moins présentes. La part la plus importante est donnée aux interrogations de Lindsay. J'ai éprouvé énormément d'empathie pour elle. Elle se retrouve seule avec son bébé, en pleine enquête, et remplie de doutes sur son mari. Je suis encore plus attachée à elle. J'ai beaucoup aimé le portrait psychologique que James Patterson dresse d'elle dans 15e affaire.



J'ai lu ce tome d'une traite. James Patterson est doué pour nous rendre addicts à ses livres. Jusqu'au bout, le suspense est présent : la dernière ligne me rend impatiente de lire la seizième enquête. Ce que je retiens le plus de cette lecture, c'est l'attachement que j'ai ressenti au sujet de Lindsay.
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J'ai toujours autant de plaisir à retrouver les héroïnes du Women's murder club, surtout que dans ce douzième tome de la série, il se passe beaucoup de choses dans leurs vies, le principal événement étant que Lindsay devient maman d'une petite Julie.



L'enquête policière est menée tambour battant comme toujours, et j'aime aussi la façon dont l'auteur décrit les procès de Yuki.

A noter que la fin du roman est surprenante puisqu'ouvrant directement sur une suite qu'on n'attendait pas forcément.

Au 8ème tome, le scénario est toujours bâti de la même manière : une enquête qui touche une des héroïnes, une enquête dans les milieux riches et un procès. Des histoires d'amour qui tournent en rond ... cela devient ennuyeux ...

Genre policier

Au début c'est le journaliste,ex policier, qui a écrit le livre qui commence à vous parler et vous laisse entrevoir le cote rouleau compresseur de l'histoire.Puis vous passez au rapt de cette jeune fille ,aux angoisses des parents qui partent à sa recherche aussitôt que le ravisseur lui même leur aie téléphoné...Rencontre avec le journaliste qui veut ,en plus d'un bon papier ,les aider car sa vocation de flic n'est pas éteinte..



Puis vous êtes dans la tête et les préparatifs minutieux du serial killer intelligent,efficace,redoutable....Et puis..vous êtes.....vous êtes menés sans un moment de répit,avec quelques scènes un peu dures (je préviens les âmes sensibles) jusqu'au dénouement...Mais au fait,quel dénouement?



Encore un bon Patterson, peut etre pas le meilleur, mais une bonne cuvée

Livre lu en 2010 dont je viens de retrouver la fiche (de lecture ^^). En voici mon avis, mi-critique mi-résumé :-)



Ce roman est la 4ème aventure du Women's Murder Club. Cette série est ma préférée de Patterson bien que j'ai découvert cet auteur grâce à celle d'Alex Cross et de certains de ses hors séries :-) J'aime particulièrement lire les aventures/histoires de femmes fortes, au tempérament de feu qui ne se laissent pas mener par le bout du nez par les hommes, quelque soit les époques ou les situations :-)



Le quatuor de choc a perdu une amie fidèle dans leur 3ème aventure. Jill, la substitut du procureur, a été assassinée. Elle sera rapidement remplacée par Yuki, avocate de talent. Celle-ci a été l'avocate de Lindsay (lieutenant au SFDP de San Francisco) qui est accusée d'avoir tué une jeune femme et de rendre handicapé à vie son frère.

Malheureusement, ce sont ces 2 jeunes gens qui ont tirés les premiers sur Lindsay et Jacobi, ceux-ci ayant rengainé leurs armes. Les 2 jeunes gens, gamins riches et gâtés, sont les assassins brutaux de 2 fugueurs, juste pour passer le temps...

Après avoir gagné son procès (car elle était en état d'ébriété au moment des faits) et une nouvelle amie, Lindsay retourne chez sa sœur pour finir de résoudre les meurtres affreux de couples mariés, dont leur point commun est d'abuser d'enfants. Elle découvrira cela seulement après avoir arrêter leurs meurtriers, qu'elle connaissait et appréciait...

Elle s'était attachée à résoudre cette affaire car la signature des meurtres lui rappelait sa première affaire au sein de la police 10 ans auparavant.



Bonne lecture à vous si vous aimez les thrillers :-)

J'ai lu ce livre en 2010 mais il ne m'a pas laissé un souvenir impérissable comme certains des James Patterson dans la série Alex Cross ou du Women's Murder Club.



James Patterson est un de mes auteurs préférés, j'ai du lire une bonne quinzaine de ses bouquins sur les 2 séries précédemment citées comme sur les autres "hors-série" :-)



Le peu que je me souvienne de ce roman est qu'il était bien mais très glauque, le reste est très flou dans ma mémoire...



J'aime bien la façon d'écrire de Patterson, c'est très fluide et rapide à lire. Même si l'histoire est sombre, on a envie de savoir la suite :-)



Bonne lecture à vous :-)