C’était un baiser à l’image de ses yeux. Teinté de malaise mais d’une douceur exquise. Je ne m’attendais pas à ce qu’il se transforme en bête de sexe qui dicte quoi faire. Kastar n’avait pas en lui un leader caché qui se révèle au grand jour une fois nu. Kastar était constant, prévisible, rassurant, doux. Il avait la peau succulente et un beau pénis sans mauvaise ni bonne surprise.