« Comment se fait-il, Minton, me demande-t-il, que je n’aie encore jamais entendu ces formidables disques ? Je ne les ai jamais vus mentionnés sur les catalogues américains. » C’est là que j’ai compris qu’à cette époque les compagnies de disques privaient le monde entier de ces merveilleux enregistrements. Ils étaient notés sous une rubrique spéciale intitulée « race records » disques raciaux.