— C’était la guerre, mec, dit-il. Ça laisse des traces, ça.
Bosch avait déjà entendu l’excuse — l’idée que la pression des situations de vie et de mort et que la peur de la guerre devraient exonérer tout individu de crimes et d’actes méprisables qu’il ne commettrait pas, ni seulement n’envisagerait de commettre au pays.
(Calmann-lévy, p.334)