Le dernier pli est celui d’un certain Roger, qui me demande d’enquêter sur son épouse. Il est persuadé qu’elle le trompe avec son propre patron. Je replie la missive et la glisse dans ma poche. Parfois, il faut savoir faire de l’alimentaire. C’est crade, ce n’est pas reluisant question morale, mais il faut remplir le frigo et ne pas faire la fine bouche. Je me souviens de ce que me disait Simon à propos de la fierté. J’ai l’impression que s’il me voyait désormais, il aurait la confirmation qu’on peut tomber de haut…