Je t'ai baisé la main pour te dire adieu
Comme si nous pouvions t'envoyer là
D'où tu nous veillerais nous parlerais
Sachant qu'il n'y aurait ni au revoir ni à dieu
Extrait du poème Prose du suaire - Pour Abdelwahab Meddeb
traduit en vingt langues dans ce recueil