Vous savez, ce sont les journalistes qui m'ont fait la réputation d'un ivrogne; ce qui est curieux, c'est qu'aucun d'entre eux n'ait jamais réalisé que si je buvais beaucoup en leur présence, c'était uniquement pour parvenir à les supporter. Comment est-ce que vous voudriez soutenir une conversation avec une fiotte comme Jean-Paul Marsouin sans être à peu près ivre mort? Comment est-ce que vous voudriez rencontrer quelqu'un qui travaille pour Marianne ou Le Parisien libéré sans être pris d'une envie de dégueuler immédiate? La presse est quand même d'une stupidité et d'un conformisme insupportables, vous ne trouvez pas?