Étudiante à la faculté de médecine de Paris, Janine Cecaldi put ainsi vivre d'assez près les années "existentialistes", et eut même l'occasion de danser un be-bop au Tabou avec Jean-Paul Sartre. Peu impressionnée par l'oeuvre du philosophe, elle fut par contre frappée par la laideur de l'individu, aux confins du handicap, et l'incident n'eut pas de suite.