La "maisonnette" était campée au milieu d'un carré de jardin planté de choux montés. Elle était triste mais avec des coquetteries de rosiers grimpants autour des portes et des fenêtres. Un cyprès bourru montait la garde au-dessus d'un mur des mineurs. L’intérieur était pauvre mais bien tenu. Lorsqu'on était habitué à l'odeur de la soupe et du feu de bois on respirait, celle plus délicate, du fer chaud frotté aux meules dans une petite pièce attenante où brillaient de sèches lueurs de métal.