Durant leurs moments de liberté, Paolo et Léonard parcourent ensemble les rues de Florence et se rendent fréquemment au marché aux oiseaux. Léonard y dépense presque tout son argent. Il en achète un, deux, ou trois, les sort de la cage et les laisse s'envoler, leur rendant ainsi leur liberté. Il ne supporte pas de les voir enfermés.
Léonard affirme qu'un jour, l'homme pourra voler comme eux.