[...] Kinu lui avait glissé :
— Le Japon sans typhons, ce serait comme une femme sans caprices, une chose impensable.
Il lui avait répliqué avec une boutade apprise de sa grand-mère Kimiko :
— Le Sakurajima, lui, est plutôt comme les hommes de Kyushu, semble-t-il. Il sourit souvent, marmonne ou ronchonne de temps en temps et entre très rarement dans une grande colère. Mais alors là, c’est l’enfer.