Par bonheur, je découvris la bibliothèque. Il y avait là des livres qui changeaient tout pour moi. C’est autre chose que l’école où on te fait lire des gens qui gâchent des pages entières pour ne rien dire ou pour le dire trop lentement. Les livres m’aidaient à fuir ma situation de marginale, avec mon visage couvert de pustules.