L’e-mail reçu par les deux « urbexeurs » ne donnait rien. L’assassin s’était servi de la technologie Tor. Un réseau internet qui assurait à son utilisateur un total anonymat. Par ce procédé, le message avait transité par différents ordinateurs, situés dans une dizaine de pays, avant d’atterrir dans la boîte de réception des deux compagnons. Il était impossible de remonter à sa source pour identifier son auteur.