Parce que l’écriture ne doit être ni blême,
Ni aphone.
Ou plate.
Elle doit tout bousculer,
Converser avec elle-même.
Se repaître sur elle-même.
Se battre contre elle-même.
Et de ces partitions jaillissent le rythme,
Les syncopées intérieures et extérieures.
Les percussions.
Le sang. L’amour. Les cruautés de
L’Homme. Ses lâchetés.
Le gouffre des cales ignominieuses.