Je l’avais vu répéter ce rôle. Il y était vraiment extraordinaire. Il collait au personnage. Lui, si doux, si timide, si sensible savait se déchaîner quand il devenait cette sorte de « Gengis Khan » moyenâgeux qu’avait merveilleusement campé l’auteur. Mieux que le créateur… Il jouait mieux. L’autre n’avait plus l’âge… Mais l’autre avait un nom. Il avait tout et nous, rien. Pas même de quoi manger. Pas même le temps d’espérer.