Citations de Minoru Takeyoshi (124)
Si Dieu créé les génies, les gens ordinaires se construisent eux-mêmes.
Je ne sais pas qui a fait ça..
Mais celles qui attaquent les gens dans le dos...Ne pourront jamais... Souiller le visage de celles qui vont de l'avant !
Les morts n'ont pas besoin de nous... Peut-être que cette phrase ne reflète pas toute la vérité... On peut au moins accomplir ce que les morts souhaitaient de leur vivant, pour que notre vie devienne un prolongement de la leur !
Si quelque chose en ce monde est capable de défier toutes les lois de la nature, il ne peut s'agir que de la volonté humaine.
Si dix mille personnes participent à une exécution… Est-ce qu’elles n’endossent qu’un dix-millième du crime ? Tu penses que la culpabilité de chacune va tendre vers zéro ? On ne peut pas partager cette responsabilité…. Un péché ne se dilue pas.
Je suis une sœur qui n'a jamais rencontré le Seigneur. Je recherche quelque chose qui mérite le nom de Dieu.
J'ai appris qu'on peut être forte même sans arme ni autorité. Et ma vie a pris un sens nouveau !
Si dans la douleur les gens cherchent le secours de Dieu, il arrive parfois qu'ils cherchent encore plus celui du diable...
"Les morts n'ont pas besoin de nous "... Mais c'est faux, hein ?? Après tout... l'âme est éternelle, non ?
J'ai beau chercher partout... Dieu ne se trouve nulle part...
Si Dieu a jugé bon de planter l’arbre de la connaissance dans le Jardin d’Eden, alors il a dû créer des gens dignes d’en recevoir le fruit !
Quand celles qui prient...ferment les yeux... Celle qui réfléchit a les yeux ouverts.
Hisser les gens hors du gouffre de la solitude… Une chose en est capable… L’adoration ! Dans ce monde, il existe des amours non partagées, des efforts non récompensés, mais pas d’adoration non satisfaite. Car cette adoration mêlée de crainte devient une joie en elle-même.
Un jour, j’ai vu la peinture de souche d’arbre dans un recueil de Yasuo Kazuki. D’après le texte explicatif, pendant la guerre, alors qu’il effectuait du travail forcé dans un camp de prisonniers en Sibérie, la beauté d’une souche fraîchement coupée lui a permis d’oublier l’espace d’un instant la dureté de la vie.
J’aimerais dépeindre la joie de vivre et l’humanité qui fleurissent dans les endroits les plus improbables.
La vie est trop brutale pour être affrontée sans un peu de baume… Elle taille les gens en pièces.
Tu ignores encore à quel point les gens sont irrécupérables.
Vous n’éteindrez pas ma flamme si facilement… Plus les ténèbres sont profondes, et plus elle brille fort !
On peut falsifier son identité par toutes sortes de moyens. Il suffit d'avoir de l'argent, des relations et de la rancune...
Une continuation sans grande surprise malgré quelques révélations sur le passé des filles et un «incident» climatique qui amènent une hausse des tensions entre le groupes des 'comploteuses'.
Logiquement, l'action et les révélations devraient s'accélérer dans les deux tomes suivants...
- Malgré les coups de bâton qu'on reçoit au quotidien, nous sommes comme des reines en exil, qui nous gouvernons nous-mêmes sans courber l'échine devant personne !